Success Stories

Marcelline, 23 ans

Marcelline, 23 ans.

Marcelline a 3 sœurs et 6 frères, ils ont perdu leur mère dès leur plus jeune âge. Malgré tous les efforts au quotidien, leur père n’arrivait plus à subvenir au besoin de la famille. Leur vie a commencé à être bouleversée : la santé, la nourriture et la scolarité des enfants étaient en danger. Les proches de la famille se trouvaient également en grande difficulté en prenant en charge les dix enfants. Alors, les plus petits – avec ses deux frères, ainsi que sa sœur – ont été accueillis à SOS Villages d’Enfants. Marcelline avait 5 ans.

Selon les éducateurs, Marcelline était une enfant douée à l’école : elle était toujours parmi les premiers de sa classe. Depuis son enfance, avec son petit frère qui tombait très souvent malade, elle voulait devenir médecin afin de trouver un remède. Marcelline aimait faire des recherches. En chaque début d’année, elle s’amusait déjà à faire elle-même une liste de choses qu’elle aimait vouloir faire. Elle l’accrochait dans sa chambre, qu’elle cochait au fur et à mesure que ses objectifs étaient atteints.

Aujourd’hui, Marcelline a 23 ans. En Octobre 2020, elle a réussi son passage en classe supérieure après avoir présenté son mémoire d’étude sur l’informatisation des données. Elle entrera en 4ème année de la filière Intelligence artificielle, et se sent très motivée pour approfondir encore plus ses connaissances sur le sujet. Son père est très fier d’elle. La famille est très importante pour Marcelline, selon elle « C’est ensemble qu’une famille doit se soutenir, dans les joies et les peines de la vie quotidienne ». Un jour, elle reviendra dans sa famille d’origine pour porter les vertus acquises depuis ces années.

Marcelline est une jeune qui aime créer. Elle fréquente souvent le FabLab Solidaire Mamiratra au sein de SOS Villages d’Enfants, un laboratoire de fabrication accès sur la technologie. Et elle travaille depuis près de deux ans sur la création d’une machine, un drone, qu’elle essaie elle-même de fabriquer pièce par pièce. Un jour, elle souhaite aboutir à ce projet qui lui tient à cœur. Marcelline ne s’arrête pas là, « Je suis aussi membre d’un groupe de Geeks, et nous avons un projet innovant que je serais fière de vous présenter le moment voulu. Ce sera une surprise ! ».

Dans toutes les étapes de sa vie estudiantine et son entrée dans le monde professionnel, Marcelline est accompagnée par le Service d’Insertion Sociale et d’Orientation Professionnelle de SOS Villages d’Enfants. Plus tard, Marcelline souhaite devenir un Administrateur Réseau. Elle sait que c’est difficile d’y arriver et elle connait les enjeux de la nouvelle technologie. « Durant un cours au collège, ma meilleure amie avait par hasard écrit au tableau noir : On n’arrive pas à un résultat sans peine ni sacrifices. Et jusqu’à présent, cette citation me revient à chaque fois que j’entreprends quelque chose, car je sais à quel point ce n’est pas facile d’avoir ce que l’on veut ».

Enfin, Marcelline est convaincue que « Tout est possible dans la vie, tous les jeunes peuvent réussir. Et SOS Villages d’Enfants m’a donné l’opportunité de me construire un avenir ». Son message pour tous les jeunes du monde est le suivant : « Il nous faut saisir les opportunités et d’en tirer le meilleur. Après, il nous faut donner sans rien attendre en retour. »

Marcelline, 23 ans

Marcelline, 23 ans.

Marcelline a 3 sœurs et 6 frères, ils ont perdu leur mère dès leur plus jeune âge. Malgré tous les efforts au quotidien, leur père n’arrivait plus à subvenir au besoin de la famille. Leur vie a commencé à être bouleversée : la santé, la nourriture et la scolarité des enfants étaient en danger. Les proches de la famille se trouvaient également en grande difficulté en prenant en charge les dix enfants. Alors, les plus petits – avec ses deux frères, ainsi que sa sœur – ont été accueillis à SOS Villages d’Enfants. Marcelline avait 5 ans.

Selon les éducateurs, Marcelline était une enfant douée à l’école : elle était toujours parmi les premiers de sa classe. Depuis son enfance, avec son petit frère qui tombait très souvent malade, elle voulait devenir médecin afin de trouver un remède. Marcelline aimait faire des recherches. En chaque début d’année, elle s’amusait déjà à faire elle-même une liste de choses qu’elle aimait vouloir faire. Elle l’accrochait dans sa chambre, qu’elle cochait au fur et à mesure que ses objectifs étaient atteints.

Aujourd’hui, Marcelline a 23 ans. En Octobre 2020, elle a réussi son passage en classe supérieure après avoir présenté son mémoire d’étude sur l’informatisation des données. Elle entrera en 4ème année de la filière Intelligence artificielle, et se sent très motivée pour approfondir encore plus ses connaissances sur le sujet. Son père est très fier d’elle. La famille est très importante pour Marcelline, selon elle « C’est ensemble qu’une famille doit se soutenir, dans les joies et les peines de la vie quotidienne ». Un jour, elle reviendra dans sa famille d’origine pour porter les vertus acquises depuis ces années.

Marcelline est une jeune qui aime créer. Elle fréquente souvent le FabLab Solidaire Mamiratra au sein de SOS Villages d’Enfants, un laboratoire de fabrication accès sur la technologie. Et elle travaille depuis près de deux ans sur la création d’une machine, un drone, qu’elle essaie elle-même de fabriquer pièce par pièce. Un jour, elle souhaite aboutir à ce projet qui lui tient à cœur. Marcelline ne s’arrête pas là, « Je suis aussi membre d’un groupe de Geeks, et nous avons un projet innovant que je serais fière de vous présenter le moment voulu. Ce sera une surprise ! ».

Dans toutes les étapes de sa vie estudiantine et son entrée dans le monde professionnel, Marcelline est accompagnée par le Service d’Insertion Sociale et d’Orientation Professionnelle de SOS Villages d’Enfants. Plus tard, Marcelline souhaite devenir un Administrateur Réseau. Elle sait que c’est difficile d’y arriver et elle connait les enjeux de la nouvelle technologie. « Durant un cours au collège, ma meilleure amie avait par hasard écrit au tableau noir : On n’arrive pas à un résultat sans peine ni sacrifices. Et jusqu’à présent, cette citation me revient à chaque fois que j’entreprends quelque chose, car je sais à quel point ce n’est pas facile d’avoir ce que l’on veut ».

Enfin, Marcelline est convaincue que « Tout est possible dans la vie, tous les jeunes peuvent réussir. Et SOS Villages d’Enfants m’a donné l’opportunité de me construire un avenir ». Son message pour tous les jeunes du monde est le suivant : « Il nous faut saisir les opportunités et d’en tirer le meilleur. Après, il nous faut donner sans rien attendre en retour. »

Marcelline, 23 ans

Marcelline, 23 ans.

Marcelline a 3 sœurs et 6 frères, ils ont perdu leur mère dès leur plus jeune âge. Malgré tous les efforts au quotidien, leur père n’arrivait plus à subvenir au besoin de la famille. Leur vie a commencé à être bouleversée : la santé, la nourriture et la scolarité des enfants étaient en danger. Les proches de la famille se trouvaient également en grande difficulté en prenant en charge les dix enfants. Alors, les plus petits – avec ses deux frères, ainsi que sa sœur – ont été accueillis à SOS Villages d’Enfants. Marcelline avait 5 ans.

Selon les éducateurs, Marcelline était une enfant douée à l’école : elle était toujours parmi les premiers de sa classe. Depuis son enfance, avec son petit frère qui tombait très souvent malade, elle voulait devenir médecin afin de trouver un remède. Marcelline aimait faire des recherches. En chaque début d’année, elle s’amusait déjà à faire elle-même une liste de choses qu’elle aimait vouloir faire. Elle l’accrochait dans sa chambre, qu’elle cochait au fur et à mesure que ses objectifs étaient atteints.

Aujourd’hui, Marcelline a 23 ans. En Octobre 2020, elle a réussi son passage en classe supérieure après avoir présenté son mémoire d’étude sur l’informatisation des données. Elle entrera en 4ème année de la filière Intelligence artificielle, et se sent très motivée pour approfondir encore plus ses connaissances sur le sujet. Son père est très fier d’elle. La famille est très importante pour Marcelline, selon elle « C’est ensemble qu’une famille doit se soutenir, dans les joies et les peines de la vie quotidienne ». Un jour, elle reviendra dans sa famille d’origine pour porter les vertus acquises depuis ces années.

Marcelline est une jeune qui aime créer. Elle fréquente souvent le FabLab Solidaire Mamiratra au sein de SOS Villages d’Enfants, un laboratoire de fabrication accès sur la technologie. Et elle travaille depuis près de deux ans sur la création d’une machine, un drone, qu’elle essaie elle-même de fabriquer pièce par pièce. Un jour, elle souhaite aboutir à ce projet qui lui tient à cœur. Marcelline ne s’arrête pas là, « Je suis aussi membre d’un groupe de Geeks, et nous avons un projet innovant que je serais fière de vous présenter le moment voulu. Ce sera une surprise ! ».

Dans toutes les étapes de sa vie estudiantine et son entrée dans le monde professionnel, Marcelline est accompagnée par le Service d’Insertion Sociale et d’Orientation Professionnelle de SOS Villages d’Enfants. Plus tard, Marcelline souhaite devenir un Administrateur Réseau. Elle sait que c’est difficile d’y arriver et elle connait les enjeux de la nouvelle technologie. « Durant un cours au collège, ma meilleure amie avait par hasard écrit au tableau noir : On n’arrive pas à un résultat sans peine ni sacrifices. Et jusqu’à présent, cette citation me revient à chaque fois que j’entreprends quelque chose, car je sais à quel point ce n’est pas facile d’avoir ce que l’on veut ».

Enfin, Marcelline est convaincue que « Tout est possible dans la vie, tous les jeunes peuvent réussir. Et SOS Villages d’Enfants m’a donné l’opportunité de me construire un avenir ». Son message pour tous les jeunes du monde est le suivant : « Il nous faut saisir les opportunités et d’en tirer le meilleur. Après, il nous faut donner sans rien attendre en retour. »

Marina, 18 ans

Marina, 18 ans.

Toute une émotion de joie et de bien-être est à son paroxysme dans la maison familiale où Marina a grandi. C’est avec un immense sourire aux lèvres que Marina apprend qu’elle a décroché son diplôme de baccalauréat, en option littéraire avec une « mention assez bien ». C’est un pas de plus vers un rêve qu’elle s’est promise de réaliser. Plus tard, Marina veut devenir Juge pour enfant.

Cette année, elle vient d’avoir ses 18 ans. A deux semaines de l’examen, elle ne croyait plus pouvoir le passer car il fallait une carte d’identité nationale. Obtenir ce document obligatoire a été vraiment compliqué pour Marina, car sur son acte de naissance est écrit « père et mère inconnus ». Cette jeune fille et sa sœur, ont été abandonnées à l’âge de 5 ans devant un portail d’un centre social, et pris en charge, par la suite, par SOS Villages d’Enfants. Marina est très solidaire avec sa sœur concernant leur histoire familiale, elles le surmontent ensemble avec l’aide de leur maman SOS. Après avoir effectué toutes les procédures administratives, et avec le soutien de SOS Villages d’Enfants en partenariat avec les Institutions Publiques, Marina a pu réunir tous les documents nécessaires pour obtenir sa carte d’identité nationale. Pour Marina, ce document représente l’aboutissement de son combat pour « exister ».

Marina est une élève sérieuse, assidue et appliquée de la classe de Première. Malgré l’interruption des cours depuis le mois d’avril à cause du Covid-19, elle craignait de perdre une année scolaire et de devoir attendre l’année prochaine. Marina a profité de la période de confinement pour redoubler d’efforts et faire des recherches pour compléter ses leçons du niveau de la classe de terminale. « Je voulais tenter ma chance, je voulais mettre à profit ces longs mois de confinement pour avancer, c’est pour cela que j’ai décidé de passer le baccalauréat cette année … J’ai beaucoup étudié, j’ai demandé à l’équipe éducative de SOS Villages d’enfants de me fournir des cahiers de la classe de Terminale, des livres, et une connexion internet de temps à autres pour apprendre. Je suis tellement heureuse que mes efforts sont récompensés. Grâce au soutien inconditionnel de ma maman SOS et SOS Villages d’Enfants, j’ai réussi ! »

Comme tous les jeunes de son âge accueillis dans les maisons familiales de SOS Villages d’Enfants, Marina a grandi dans un sentiment de bien-être, une vie familiale épanouissante et une enfance heureuse sous la responsabilité d’une mère SOS. Dans le foyer, elle a grandi avec sa sœur et d’autres enfants, avec un vécu, un rythme et des habitudes qui lui sont propres. Les enfants grandissent et apprennent ensemble, partagent les responsabilités, les joies et les peines de la vie quotidienne familiale. Depuis son arrivée dans la maison familiale, Marina est accompagnée selon un plan bien défini et un objectif de réussite en fonction de ses souhaits et de sa personnalité. Après l’obtention de son baccalauréat, Marina souhaite poursuivre ses études dans la filière Droit.

Le nom, la photo et la localisation ont été changés afin de protéger son droit à la vie privée.

Tina, 25 ans

Tina, 25 ans.

Tina a travaillé dès son plus jeune âge pour subvenir à ses besoins après le décès de ses parents. Le rêve de Tina est de devenir cheffe cuisinière dans un grand restaurant, mais pour ce faire elle doit au moins obtenir le diplôme de BEPC, pourtant elle n’avait jamais été scolarisée. Grâce à l’appui de son entourage, elle a approché SOS Villages d’Enfants Madagascar.

C’est à l’âge de 18 ans que Tina a pour la première fois de sa vie appris à lire et à écrire. Au terme de 10 mois d’apprentissage accéléré en classe ASAMA, elle a obtenu son diplôme de CEPE. Elle a maintenant 25 ans et est en classe de troisième. C’est à force de persévérance et de courage qu’elle est arrivée à ce niveau. Son parcours n’aurait pas été possible sans le soutien de généreux donateur, qui sont les pierres angulaires de notre mission.

Comme Tina, permettez aux milliers d’enfants qui sont encore dans le besoin de développer tout leur potentiel.

Le nom et la photo ont été changées pour protéger son droit à la vie privée.

Tina, 25 ans

Tina, 25 ans.

Tina a travaillé dès son plus jeune âge pour subvenir à ses besoins après le décès de ses parents. Le rêve de Tina est de devenir cheffe cuisinière dans un grand restaurant, mais pour ce faire elle doit au moins obtenir le diplôme de BEPC, pourtant elle n’avait jamais été scolarisée. Grâce à l’appui de son entourage, elle a approché SOS Villages d’Enfants Madagascar.

C’est à l’âge de 18 ans que Tina a pour la première fois de sa vie appris à lire et à écrire. Au terme de 10 mois d’apprentissage accéléré en classe ASAMA, elle a obtenu son diplôme de CEPE. Elle a maintenant 25 ans et est en classe de troisième. C’est à force de persévérance et de courage qu’elle est arrivée à ce niveau. Son parcours n’aurait pas été possible sans le soutien de généreux donateur, qui sont les pierres angulaires de notre mission.

Comme Tina, permettez aux milliers d’enfants qui sont encore dans le besoin de développer tout leur potentiel.

Le nom et la photo ont été changées pour protéger son droit à la vie privée.

Tina a travaillé dès son plus jeune âge pour subvenir à ses besoins après le décès de ses parents. Le rêve de Tina est de devenir cheffe cuisinière dans un grand restaurant, mais pour ce faire elle doit au moins obtenir le diplôme de BEPC, pourtant elle n’avait jamais été scolarisée. Grâce à l’appui de son entourage, elle a approché SOS Villages d’Enfants Madagascar.

C’est à l’âge de 18 ans que Tina a pour la première fois de sa vie appris à lire et à écrire. Au terme de 10 mois d’apprentissage accéléré en classe ASAMA, elle a obtenu son diplôme de CEPE. Elle a maintenant 25 ans et est en classe de troisième. C’est à force de persévérance et de courage qu’elle est arrivée à ce niveau. Son parcours n’aurait pas été possible sans le soutien de généreux donateur, qui sont les pierres angulaires de notre mission.

Comme Tina, permettez aux milliers d’enfants qui sont encore dans le besoin de développer tout leur potentiel.

Le nom et la photo ont été changées pour protéger son droit à la vie privée.

Clara, un enfant du Village d’Enfants SOS de Vontovorona, a toujours voulu à son tour apporter son aide aux gens. Quand elle a obtenu son baccalauréat, elle s’est inscrite en étude de médecine. Malgré un début difficile, elle est maintenant en quatrième année et est actuellement en stage dans un hôpital d’Antananarivo.

Comme elle l’a dit, son rêve commence à devenir réalité et à prendre forme. « C’est un peu effrayant, mais passionnant en même temps. » explique-t-elle avec un sourire et un stéthoscope autour du cou. Clara aimerait se spécialiser en cardiologie. Elle sait que le fait d’être médecin, encore plus cardiologue, est un travail exigeant. Toutefois, c’est un sacrifice qu’elle est prête à faire. « Vivez votre objectif », ajoute-t-elle, « C’est la seule façon de vivre pleinement ».

Pouvez-vous imaginer si tous les enfants du monde pouvaient vivre pleinement leurs rêves ?

La photo a été changée pour protéger son droit à la vie privée.

Clara, 21 ans

Nadine et sa famille

Nadine et son mari ont quatre enfants. il y a quelques années, ils vivaient dans des conditions précaires. La famille ne vivait qu’avec 30 000 Ariary par mois : le total des revenus des beignets de banane, de café et de pâtes.

Comme les autres familles bénéficiaires, elle a été encadrée par l’équipe du Programme de Renforcement Familial de SOS Villages d’Enfants Madagascar. Les enfants sont scolarisés et suivent un cursus scolaire normal. Les parents ont suivi l’école des parents et ont bénéficié d’un appui technique et financier pour l’amélioration de leurs activités génératrices de revenus (AGR). La famille est maintenant propriétaire de 2 cyclo-pousses : le premier tricycle a été acquis par le biais de l’appui alimentaire en numéraire et le second grâce aux fonds octroyés pour la mise en place d’un projet d’AGR.

Après avoir remporté un concours des meilleurs projets avec Entreprendre Madagascar, Annie a obtenu un appui financier pour le démarrage de son projet : un élevage de poules pondeuses. Elle est en quatrième année de Droit et vit dans une maison louée par SOS Villages d’Enfants, qu’elle partage avec d’autres jeunes femmes. Les oeufs sont destinés pour la consommation au sein de la maison familiale. Avec l’appui du SISOP, la jeune a pu développer son élevage avec l’introduction des poulets de chair. Elle est devenue une source d’inspiration pour les autres jeunes grâce à son courage, sa patience et son sens de l’entrepreneuriat.

Le nom a été changé pour protéger son droit à la vie privée.

Annie, 23 ans

Hanitra et sa famille

Hanitra, a rejoint le programme de renforcement familial en 2011. Avec la perte de son mari qui était le soutien de la famille, elle avait du mal à joindre les deux bouts. Elle travaillait en tant que fontainière. Ses enfants étaient en situation de risque de déscolarisation et de malnutrition. Avec le programme d’autonomisation des familles, ces trois enfants : Danny, Fitahiana et Hery ont été scolarisés, ont bénéficié de la cantine scolaire à raison de deux repas par jour (matin et midi), de suivi scolaire. Quant à Hanitra, elle a bénéficié d’un renforcement de ses capacités à travers des formations en gestion simplifiée, gestion de projets et des accompagnements personnalisés. Grâce à cela et à ses efforts, elle a pu développer un projet de petit commerce. « Entreprendre un projet n’est jamais facile, mais je le fais pour mes enfants. A certain moment, j’ai eu envie d’abandonner mais l’équipe m’a été d’un grand soutient. Merci à l’équipe de SOS Villages d’Enfants, grâce à qui notre vie a changé. » selon Hanitra.

Aujourd’hui, son petit commerce de vente de légumes s’est développé en commerce d’autres produits. Sur son étalage, elle a des légumes, des jouets, des fournitures scolaires, des vêtements et des produits d’épicerie. Elle adapte ses produits suivant les saisons et les besoins du marché local. Ses enfants ont également fait du chemin ; Danny qui a été scolarisé au centre, a complété sa formation professionnelle en mécanique auto et est actuellement en recherche d’un stage d’embauche. Fitahiana suit une formation professionnelle en pâtisserie et Hery est en classe de quatrième. Le rêve de Hanitra est de pouvoir réhabiliter sa maison actuelle et que ces enfants puissent également trouver des emplois décents pour devenir indépendants.

Les noms ont été changés pour protéger leur droit à la vie privée.

Francky Ranaivojaona est un jeune avec une personnalité bien particulière. Il préfère apprendre ce que d’autres ne savent pas, plutôt que d’apprendre la même chose que tout le monde. En effet, Francky est en décrochage scolaire. « Je préfère la pratique plutôt que la théorie, j’ai beaucoup de mal à m’intégrer dans un système d’éducation générale ».
Atteint d’un trouble de l’apprentissage caractérisé par des difficultés pour lire, ou la dyslexie, il fait partie des jeunes qui peuvent réussir à l’école grâce à des cours particuliers ou à un programme d’éducation spécialisée. Mais Francky se focalise sur ce qu’il aime : sa passion pour l’innovation technologique. Après une formation professionnelle en menuiserie, qu’il n’a pas pu poursuivre faute de moyen.

Il rejoint le FabLab Solidaire Mamiratra pour se former pendant à peu près 4 mois. Il se perfectionne en code, le langage informatique. Ensuite, il développe tout son potentiel en se formant sur le projet Main Bionique avec SOS Villages d’Enfants Madagascar.

Après sa formation, il devient à son tour formateur. « Le FabLab m’a permis de développer ce que je n’avais pas su faire avant, comme la relation sociale. Maintenant, je suis formateur, et je suis sociable. »

Actuellement, il est âgé de 18 ans, et se projette déjà dans 10 ans. Il veut devenir inventeur de nouvelle technologie. « Mon rêve est de créer des machines plus tard, qui permettront de commander toutes sortes de choses à distance, bien que cela existe déjà, je voudrais créer quelque chose d’unique. »

Francky,18 ans

Miora,21 ans

Miora est à l’université, en filière Gestion. Plus tard, son rêve est d’ouvrir son propre salon de coiffure. Mais elle constate que l’accès des jeunes au monde professionnel semble toutefois difficile. « Les jeunes manquent de bagages ou de fonds d’investissement pour pouvoir construire leur carrière professionnelle. Il existe des formations dédiées mais il faut encore plus renforcer les capacités ». SOS Villages d’Enfants l’accompagne à développer ses compétences et avoir une vision globale de ce qu’elle pourrait faire pour réaliser son rêve. Grâce aux entreprises partenaires et des partages entre les jeunes de son âge, elle prévoit bientôt un stage professionnel au sein d’un salon de coiffure.

Le message de Miora pour les jeunes de son âge : « Persévérons dans nos recherches tout en restant focaliser sur nos objectifs. Car c’est à travers nos expériences que nous grandissons ».

Miora a également encouragé les entreprises d’ouvrir leurs portes aux jeunes car cela les aideront à mieux développer leurs capacités.

Le nom et la photo ont été changés pour protéger son droit à la vie privée.

Félicia vit dans un Village d’Enfants SOS. Après l’école, elle court directement au Centre Foot qui se trouve dans l’enceinte même du village. Là où les jeunes pratiquent leur sport préféré : le football. Très passionnée par ce sport, elle veut devenir éducatrice sportive. En Décembre dernier, Félicia a vécu une expérience mémorable lors d’un voyage au Ghana : être au cœur de la Coupe d’Afrique des Nations féminine de football. « Cette expérience m’a permis de découvrir tellement de choses, surtout les coulisses de la finale de la CAN Féminine de football ». C’est avec un grand sourire qu’elle raconte tous les détails de son voyage à sa mère SOS et à sa Tante SOS. « Je suis très contente, j’ai vécu de très bons moments en compagnie d’autres jeunes filles de mon âge qui viennent de différents pays, toutes aussi passionnées par le football ». Félicia est certaine que toutes les filles dans le monde, sont capables de grandes choses et surtout de pratiquer un sport. « Ce que je peux dire c’est que si nous voulons réussir dans la vie, nous devons beaucoup nous entrainer et assurer au maximum dans les études. Pour moi le football, ce sera toute ma vie ».

Découvrez le film

Félicia,19 ans

Rivo, 13 ans

Le courage d'une mère

Rivo est un garçon responsable et attentif vis à vis de ses petits frères et sœurs. Il trouve toujours une solution quand ses frères se chamaillent. Au décès de leur mère, la famille est totalement bouleversée. Dans une situation de précarité, le père ne pouvait plus s’occuper correctement des enfants. Il a décidé d’approcher le Village d’Enfants SOS afin de donner une vie meilleure à ses enfants.

Aujourd’hui, Rivo et ses frères et sœurs vivent une vraie vie d’enfant. Ils jouent librement avec ses camarades de classe et d’autres enfants du village. Rivo n’a plus à faire des kilomètres pour aller chercher de l’eau avec son gros bidon. Avec ses frères et sœurs, ils reçoivent les soins et l’alimentation qu’ils ont besoin. Leur père vient régulièrement leur rendre visite dans le village et ne cesse de glisser un petit mot de remerciement pour le personnel du village et pour les parrains.

Après 2 années qui se succèdent, les enfants passent toujours les grandes vacances auprès de leur famille, avec leur père qui est souriant à chaque moment, en voyant ses enfants grandir dans la joie et dans la santé. Rivo a grandi et continue à aider beaucoup au bon fonctionnement de la vie familiale.

Le nom et la photo ont été changés pour protéger son droit à la vie privée.

Sarindra, 14 ans

Le courage d'une mère

Très souriante et très ambitieuse, Sarindra aime faire des recherches et saisit toutes opportunités qui permettront de développer ses compétences. Sarindra est convaincue que les jeunes peuvent réussir, cela grâce à leurs motivations et au soutien des parents.

Son souhait est de devenir professeur de Mathématiques. « Mes parents n’ont pas les moyens de m’offrir une éducation de qualité pour que je puisse poursuivre correctement mes études » Elle a décidé d’avoir en même temps le soutien de la plateforme YouthCan afin de renforcer ses connaissances dans la filière scientifique.

« YouthCan à Mahajanga facilite l’employabilité des jeunes, je me sens beaucoup concernée. Il existe tellement d’opportunités qui s’offrent aux jeunes, et les entreprises qui travaillent avec SOS Villages d’Enfants pensent à notre avenir. Je sollicite les jeunes de mon âge à voir les opportunités qui s’offrent à eux ».

Le nom et la photo ont été changés pour protéger son droit à la vie privée